Alors que ces prochains jours s’annoncent plus frais, les valeurs repassant même parfois en dessous des normales, la chaleur va-t-elle s’imposer durant les vacances de Pâques ? Dans quelle proportion et dans quelles régions ?
Guillaume Woznica
Météorologue - 1022 articlesArticles de Guillaume Woznica
Le modèle européen vient de révéler ses dernières actualisations pour la tendance saisonnière de l’été. Sécheresse et fortes chaleurs récurrentes pourraient ainsi dominer au cours du trimestre juin-juillet-août. Explications et décryptage.
Avec le retour des gelées matinales dans de nombreuses régions cette semaine, les arboriculteurs et viticulteurs ont dû mettre en place des systèmes de lutte anti-gel afin d'éviter de trop grandes pertes dans les vergers et les vignes. Explications et prévisions.
Si la situation s’est améliorée sur le font de la sécheresse de l’Atlantique aux régions de l’est après un mois de mars pluvieux, elle demeure critique dans le sud-est. Plusieurs départements sont d’ores et déjà en alerte.
Avec l’arrivée du mois d’avril et des beaux jours, on a tendance à oublier que l’hiver n’est pas si loin derrière nous. Il peut ainsi encore faire des siennes, apportant du froid voire de la neige. Doit-on s’y attendre au cours des prochaines semaines ?
Si ce mois de mars a été de nouveau plus chaud que la normale, il s’est également avéré très humide avec un excédent dépassant 50 % dans de nombreuses régions. Ces précipitations ont permis de faire reculer sensiblement la sécheresse du début d’année.
Ces derniers jours, de nombreuses villes ont connu des amplitudes thermiques importantes entre le petit matin et l'après-midi. Cette situation se produira également la semaine mais à quoi est dû ce phénomène ?
Ce mercredi 29 mars a enregistré des températures exceptionnellement élevées dans le sud-ouest, avec ponctuellement plus de 30°C sous abri ! De nombreux records de chaleur mensuels ont ainsi été battus.
Après un mercredi aux allures estivales dans certaines régions, la fin de semaine s’annonce agitée. Les rafales de vent deviendront ainsi tempétueuses entre jeudi soir et vendredi dans le nord et le nord-ouest du pays.
À moins de trois mois du solstice, les tendances saisonnières de l’été commencent à s’affiner. Après un printemps instable et parfois frais, le trimestre juin-juillet-août s’annonce, lui, plus chaud et plus sec que la normale.
Pour la troisième année consécutive, les gelées d’avril pourraient bien faire parler d’elles avec un risque de dégâts sur les cultures et la végétation. Les précipitations, également au rendez-vous, devraient continuer à faire reculer la sécheresse.
Le phénomène météorologique La Niña, qui a notamment intensifié la sécheresse et les inondations dans plusieurs régions du monde, est enfin terminé mais celui qui va suivre, à savoir El Niño, pourrait apporter d'autres problèmes.
La météo s’emballe en cette fin de semaine avec plusieurs pays du monde frappés par les intempéries, des États-Unis au Malawi, en passant par l’Argentine ou la Nouvelle-Calédonie.
Alors que l’inquiétude est de plus en plus forte concernant l’évolution de la sécheresse au printemps, voilà que la dernière mise à jour des tendances saisonnières propose un scénario totalement différent des précédents, avec une humidité très présente ces prochains mois…
Après le temps quasi-estival de lundi, la masse d’air change radicalement ce mardi. Les températures subissent ainsi une dégringolade, à tel point que l’ambiance pourrait redevenir hivernale. On fait le point sur l’évolution attendue.
Alors que le printemps météorologique a officiellement débuté le 1er mars, celui-ci peut parfois nous réserver des surprises. Il y a 10 ans, le nord du pays était ainsi paralysé par une tempête de neige exceptionnelle. Ces chutes de neige tardives peuvent-elles encore se produire ces prochaines semaines ?
Dans la lignée d’une semaine maussade, la journée de samedi verra le passage d’une énième perturbation pluvio-venteuse. Dimanche, en revanche, la situation s’améliorera avec le retour d’éclaircies dans la plupart des régions.
Outre les précipitations qui s’annoncent abondantes au cours des prochains jours, le vent sera également à surveiller. Avec des dépressions parfois vigoureuses, il soufflera fort et atteindra même localement le stade de la tempête.
Avec le retour d’un flux perturbé dynamique, les perturbations atlantiques vont enfin faire leur retour en France ! Elles vont s’accompagner de précipitations abondantes, sous forme de pluie ou de neige, parfois jusqu’en plaine.
Après les abondantes précipitations des derniers jours, l’île de beauté débute le mois de mars avec un enneigement plus abondant que dans le massif alpin ! Pendant ce temps, la situation devient compliquée dans les Vosges et le Jura.